Il fustige les auteurs-critiques qui ont besoin de donner leur avis sur les ouvrages de leurs confrères, et les critiques-auteurs dont les pièces n'ont jamais été jouées ou parfois, dans de petits théâtres, sans grand succès, ce qui les rend aigris, prêts à se venger de l'art dramatique en lui nuisant avec tout leur talent.
Il prétend également qu'ils n'aiment pas l'art dramatique ni sur scène ni à l'écran. Enfin, Pagnol pense que le critique assis dans son fauteuil, un soir de générale, est là pour composer son œuvre et non pour juger l'œuvre d'un autre...
Le résultat de ces critiques est parfois déplorable :
"Un certain nombre d'auteurs semblent avoir été
dévoyés par le dénigrement de leurs meilleures qualités
et l'éloge unanime de leurs erreurs."
dévoyés par le dénigrement de leurs meilleures qualités
et l'éloge unanime de leurs erreurs."